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La réassociation dans les troubles alimentaires. Sophie Cohen

Revue Hypnose & Thérapies Brèves n°44



Le thème de la réassociation est souvent peu traité. On parle et on écrit en effet volontiers de la dissociation en hypnose. La dissociation est utile dans nombre de situations où, par exemple, des soins génèrent de la douleur. Ainsi l’on enseigne le savoir-accompagner le patient dans un état dissociatif.

Dans un ensemble de pathologies, savoir si une personne est dissociée ou associée n’est pas pris en compte. Alors que la dissociation spontanée peut représenter une protection naturelle dans les premiers temps d’une situation, elle devient pathologique si elle s’inscrit comme une façon d’être dans la durée.

Se dissocier, « se retirer » de son corps, est un processus naturel utile dans le cas de traumatismes, de douleurs notamment, car en effet ce processus permet de se protéger et/ou parfois de conserver ses capacités d’action. Cependant, rester dans cet état de dissociation entraîne le retrait de son corps, de soi, et de ce fait coupe de toutes les informations qui sont envoyées par les systèmes complexes du corps.

Le thérapeute peut ainsi lors des premières consultations avoir en tête d’explorer dans quel état arrive le patient. Est-il naturellement associé ou dissocié de son corps ? Sent-il les informations qui naturellement lui sont adressées par son corps ?

Je vous propose d’examiner cet aspect et de rester dans le thème de notre dossier thématique : les troubles alimentaires. Ainsi, lors de la première rencontre, le thérapeute explore le monde du patient. Il pose alors des questions visant à comprendre l’autre et la façon dont son monde fonctionne : ses croyances, ses habitudes. Lors de cet échange, la personne en face de lui, venue demander de l’aide, réalise par elle-même des choses. Par exemple, lorsque le thérapeute demande : « à quel moment mangez-vous ? », et que la réponse est : « lorsque c’est l’heure », « lorsqu’il est midi ou à 20 h précises », « lorsque mes collègues, amis, famille passent à table », « lorsque je passe devant un truc qui me donne envie »... le thérapeute peut s’étonner : « OK, donc vous mangez lorsque les autres se nourrissent ou ont faim ou lorsqu’il est une heure convenue, est-ce bien cela ? ». Cette simple intervention agit comme un recadrage et fait réaliser au consultant ses erreurs. Le thérapeute peut aller plus loin et demander : « Qu’est-ce que vous venez de réaliser là ? » Cette réponse permet également au thérapeute d’entendre que la personne n’est pas à l’écoute d’elle-même ; à l’écoute des signaux adressés par son corps. Ainsi le thérapeute continue : « A quoi sentez-vous habituellement que vous avez faim ? » ; « heu... si c’est l’heure... si j’ai envie... ». Ce genre de formulations aboutit au constat que la personne est dissociée. Quelqu’un d’associé à ses sensations aurait dit, par exemple : « Je ne mange que si mon corps a faim. » Et le thérapeute de poursuivre plus loin : « D’accord, et à quels signaux sentez-vous que votre corps a faim » ; « j’ai besoin de manger et je sens mon ventre qui gargouille et je ressens une baisse de la vigilance, et il m’arrive même d’avoir mal à la tête. » Dans ces cas-là alors, on sait par les réponses formulées que la personne est associée, attentive à ses sensations.

En résumé, on peut dire que la pensée peut être dissociante lorsque notamment elle reste dans des représentations coupant alors la personne de ses perceptions.

De la même façon, le thérapeute peut explorer dans quelles situations la personne mange. Si la réponse proposée est une de celles-ci : « Lorsque j’ai peur, lorsque je suis au téléphone, lorsque je suis en colère, que je suis contrariée, lorsqu’il y a du monde, lorsque j’ai le spleen... » On entend que la personne utilise la nourriture dans un but différent de celui de nourrir son corps.

Ainsi à la façon des thérapies brèves, nous allons proposer, en fonction des situations évoquées par la personne accompagnée, différentes solutions alternatives adaptées au contexte. Il s’agit en effet de manger si le corps a faim. Manger dans un autre contexte, un contexte émotionnel, par exemple, alors que le corps n’a pas faim, serait manger de façon erronée et s’éloigner (se dissocier) encore davantage de son corps. Et donc, amplifier la dissociation.

Comment réassocier ? Voici un exemple de séance d’hypnose possible...

Induire de la façon choisie et adaptée au patient.

« Je vous invite à sentir les sensations présentes dans vos pieds. Et sentir simplement les parties lourdes et les parties légères... Sentez-vous déjà les zones fraîches et les zones plus chaudes ? Il se peut que vous sentiez des fourmillements, du tiraillement... Je vous invite à sentir des zones où il n’y a peut-être aucune sensation... très, très bien... Et vous laissez remonter votre attention dans les chevilles, la cheville gauche, la cheville droite... et je me demande ce que vous sentez, je ne sais pas... Seul vous savez et vous sentez bien ce que vous sentez... fourmillements, chaleur, fraîcheur, lourdeur, légèreté... absence de sensations, ce qui est déjà une sensation... Puis vous laissez remonter votre attention dans les mollets et les genoux et continuez de faire ce que vous savez faire : rien, rien d’autre que d’être attentif à la façon dont votre corps est vivant maintenant en sentant les sensations présentes... Vous continuez de ne rien faire et vous sentez ce qui est présent dans le haut des jambes et le bassin. Sans juger, sans interpréter... juste sentir la façon dont vous sentez votre corps vivant maintenant... les sensations... intérieurement vous faites l’inventaire des sensations de vie là maintenant. Si des pensées de jugement ou d’interprétation se présentent, vous les laissez passer à la façon dont on observe un nuage qui passe dans le ciel... Vous laissez encore remonter votre attention dans la sphère digestive et respiratoire... et vous accueillez les sensations présentes dans ces zones. Vous sentez votre rythme respiratoire. Ne changez rien, ne modifiez rien... juste sentir... Vous sentez l’air qui entre et l’air qui sort... est-ce que vous sentez déjà la différence de température entre l’air qui entre qui est plus frais et l’air qui sort : plus chaud ? Peut-être pas... et ça n’a pas vraiment d’importance... la seule chose importante est de sentir la façon dont vous sentez maintenant... il se peut que vous sentiez peut-être déjà une densité différente comme si vous vous étiez enfoncé dans le fauteuil ou peut-être pas... vous sentez ce que vous sentez et c’est très bien comme ça...

Je vous invite à laisser remonter votre attention dans les épaules, les bras, les avant-bras, les mains jusqu’au bout des doigts et sentir simplement ce qui est présent... vous sentez toutes ces sensations de vie qui vous indiquent la façon dont votre corps est vivant maintenant... les points d’appui, de contact... sentez-vous que les zones en contact avec d’autres zones de votre corps sont plus chaudes ? Et vous continuez de ne rien faire... plus vous ne faites rien, mieux vous sentez votre vie vivante... telle qu’elle est vivante... la façon dont votre vie se déroule là maintenant... vous laissez votre attention remonter encore dans tout ce qui est en arrière, votre dos et sentez les zones sacrées, lombaire, dorsale et cervicale, avec les sensations que vous sentez... Ne jugez pas, n’interprétez pas, juste accueillir les sensations, la façon de votre corps est vivant maintenant... Vous laissez remonter votre attention dans l’arrière de la tête, le cuir chevelu et vous sentez ce que vous sentez... Vous sentez votre front, vos sourcils... Très, très bien... Les yeux derrière les paupières, les joues... Vous sentez même la langue dans la bouche, les papilles, les mâchoires... les lèvres...

Vous laissez votre corps profiter de cette nouvelle façon d’être... et vous laissez votre corps automatiser les choses utiles... faire ses réglages fins... c’est très bien... et lorsque vous aurez bien intégré tout ce qui est utile, vous pouvez vous appuyer sur une, deux ou trois profondes respirations et laissez vos yeux se réouvrir...

A la fin de la séance, je vous propose de questionner la personne accompagnée et de lui demander ce qu’elle ressent. Question difficile car la plupart du temps les personnes répondent : « Je pense que... » Poser cette question : « que sentez-vous là maintenant dans vos pieds, vos jambes ? que sentez-vous dans le haut du corps ? », replonge la personne accompagnée dans l’état hypnotique et les réassocie. Ensuite, le thérapeute écoute et accueille les sensations évoquées par la personne. Il peut poursuivre le questionnement et lui demander en quoi ces sensations sont utiles e/ou qu’est-ce que ces sensations lui racontent là maintenant.


Des étoiles pour nous guider. Sophie Cohen
Chères lectrices et chers lecteurs, Comme vous le savez certainement, le monde de l’hypnose vient de perdre l’une de ses grandes figures en la personne de François Roustang. Il a été l’un des grands « penseurs » de l’hypnose. Il a en particulier cherché à définir et comprendre ce qui se déroulait dans une rencontre et lors d’une séance. Nous lirons l’hommage de Jean-Marc Benhaiem, son ami et disciple.

Se réinventer grâce à l’hypnose. Nicole Prieur
Une nécessité pour notre XXIe siècle. Notre siècle génère de nouvelles souffrances liées aux progrès mêmes qu’il a mis en œuvre. L’accélération de notre époque impose un rapport au temps très paradoxal, nous n’avons jamais eu autant de temps à notre disposition (davantage de temps de loisirs, plus grande espérance de vie) et pourtant nous en manquons sans cesse au regard de toutes les tâches à faire en un temps donné. 

Les suggestions directes. Dr Dominique Megglé
Qu’en pense le Docteur Erickson ? Dominique Megglé a fait un vrai travail de recherches dans tous les livres et articles d’Erickson. Il développe sa pensée qu’il avait déjà en partie évoquée dans le numéro 30 de notre Revue. Des échanges avec des spécialistes ont invité Dominique Megglé à réaliser davantage de recherches. 

Anorexie/boulimie : véritable enjeu de santé publique. Dr Bruno Dubos
Les données de l’Inserm s’accordent sur deux constats : 0,5 % des jeunes filles dans leur dix-huitième année, et seulement 0,03 % des garçons, présentent des symptômes évocateurs d’anorexie. Le deuxième aspect est que ces troubles évoluent vers la chronicité. Ces problèmes représentent un véritable défi pour les thérapeutes et donc pour les hypnothérapeutes que nous sommes. Lorsqu’il m’a été confié la responsabilité de diriger ce numéro thématique sur l’anorexie et la boulimie, le titre m’est venu spontanément : « Un nouveau regard ».

Anorexie : du symptôme aux processus. Dr Bruno Dubos
L’anorexie et la boulimie sont un véritable défi pour les thérapeutes. Mais plutôt que de parler d’anorexie ou de boulimie, il convient de prendre en compte qu’il s’agit de patientes, adolescentes ou moins jeunes qui viennent dans nos cabinets de consultation avec ce symptôme. La réputation de ces problèmes est particulière, renforcée il est vrai par nos expériences en thérapie avec ces patientes.

La réassociation dans les troubles alimentaires. Sophie Cohen
Le thème de la réassociation est souvent peu traité. On parle et on écrit en effet volontiers de la dissociation en hypnose. La dissociation est utile dans nombre de situations où, par exemple, des soins génèrent de la douleur. Ainsi l’on enseigne le savoir-accompagner le patient dans un état dissociatif. Dans un ensemble de pathologies, savoir si une personne est dissociée ou associée n’est pas pris en compte. Alors que la dissociation spontanée peut représenter une protection naturelle dans les premiers temps d’une situation, elle devient pathologique si elle s’inscrit comme une façon d’être dans la durée.

Thérapie du couple parental. Dr Patrice CHARBONNEL
L’anorexie mentale est une pathologie essentiellement féminine qui se révèle le plus souvent juste après la puberté. Ce trouble des conduites alimentaires associe des symptômes de comportements nutritionnels (privation alimentaire stricte et volontaire pendant plusieurs mois ou années, éviction de certains aliments, phases boulimiques) et somatiques (aménorrhée, arrêt de la croissance chez l’adolescente) à des symptômes psychologiques (perception déformée de son corps et en particulier de sa maigreur, peur de grossir, besoin de contrôle sur le corps, obsessions alimentaires, hyperactivité, surinvestissement intellectuel, régression en âge émotionnel).

Des étoiles pour guide. Sophie Cohen
Des étoiles... des stars... en anglais... des personnes... des personnes de passage avec une présence merveilleuse... comme ça, une chaleur offerte à ce moment-là...
Au bon moment... Des personnes comme de petites ou de grandes étoiles... Etoiles qui clignotent dans le ciel dont la lumière éclaire les larmes de joie qui ruissellent sur nos visages... Qui n’a pas pleuré sous un ciel étoilé ? Qui ne s’est pas ému devant la fragilité de nos vies ?

Les champs du possible. Dr Adrian Chaboche
Chers lecteurs, continuons de nous interroger sur la façon dont l’hypnose amène à réinstaller un mouvement dans la vie du patient. Et enrichissons-nous de prolonger la réflexion : n’appartient-il pas déjà au thérapeute d’être dans son mouvement et s’autoriser à ne plus savoir pour entrer dans la créativité thérapeutique ? Autant que deux danseurs, le thérapeute serait alors celui qui ouvre le premier pas à l’aide d’une suggestion, autant que d’une main il invite son partenaire à s’avancer.

Pédagogie Kaddouch. Dr Dina Roberts
Ce « pas de côté » vers la pédagogie musicale est né de ma rencontre avec Julien Laroche lors d’une conférence sur le thème « Jouer ensemble », organisée par des danseurs. J’ai été immédiatement tentée de l’inviter ici quand je l’ai entendu se définir comme « chercheur indiscipliné » plutôt qu’interdisciplinaire. Sa démarche même est faite de pas de côté : il part du phénomène qu’il étudie et convoque les disciplines qui permettent de l’éclairer. Ses études sur les interactions sociales l’ont amené à travailler sur l’improvisation musicale dans la méthode Kaddouch.

Entretien avec le Docteur Jeffrey Zeig. Dr Gérard Fitoussi
Bonjour Docteur Zeig, vous avez une énorme influence dans le champ de l’hypnose ericksonienne, pouvez-vous nous donner des précisions sur votre cheminement personnel ? Jeffrey Zeig : J’ai commencé à étudier l’hypnose à l’université de San Francisco au moment de mon master de psychologie clinique. Un des psychiatres présents, qui était mon superviseur, m’a fait connaître l’hypnose et m’a indiqué qu’une des meilleures façons de la découvrir était de l’expérimenter moi-même.

Livres en bouche. Dr Grégory Lambrette
Compte-rendu. Voilà qu’à l’occasion de la rentrée littéraire de septembre 2015 est arrivé sur les étagères de nos librairies non pas un, mais deux ouvrages signés de la main de Giorgio Nardone, l’une des figures de proue les plus actives et créatives du modèle stratégique en psychothérapie. On le sait, Nardone cultive depuis plusieurs décennies maintenant un art du changement consistant à trouver des solutions simples aux problèmes insolubles comme il le qualifie lui-même.

Colloque « L’œuvre de François Roustang ». Dr Grégory Tosti
Le 23 novembre 2016, François Roustang s’est éteint à l’âge de 93 ans. Psychanalyste dissident, philosophe, hypnothérapeute, écrivain, cet ancien jésuite a bouleversé la pratique et la compréhension de l’hypnose et a créé en 1996, avec le Dr Jean-Marc Benhaiem, l’Association française pour l’étude de l’hypnose médicale (AFEHM) ; association qui donna le jour au premier Diplôme universitaire d’hypnose médicale en 2001.

Recherches: les applications. Dr Lauriane Bordenave et Dr Adrian Chaboche
La neurochirurgie éveillée est un mythe qu’on agite souvent lorsqu’on parle d’hypnose au bloc opératoire. Sauf qu’il s’agit d’une réalité. La preuve avec cette belle série française. Les glioblastomes de bas grade sont des tumeurs cérébrales malignes infiltrantes, et le défi de la chirurgie est de trouver le meilleur compromis entre l’exérèse la plus complète possible et la préservation des tissus sains adjacents. Pour ce faire, certaines équipes réalisent des craniotomies sur des patients éveillés.

Hommage à François Roustang. Dr Jean-Marc Benhaiem
Je m’exprime au nom de tous les soignants, médecins, psychologues si nombreux à avoir lu, entendu, aimé et intégré l’œuvre de François Roustang dans leur pratique. Je parle aussi, bien entendu, en mon nom propre. François a bien voulu s’associer à mon projet de formation. Nous avons ainsi travaillé ensemble pendant vingt années, côte à côte, dans notre association d’enseignement de l’hypnose médicale et au sein de l’Université Paris VI à la Pitié-Salpêtrière.

Rédigé le 07/08/2017 modifié le 11/10/2017
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Dernière Mise à Jour du site: 2 Mars 2024

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